Amertume, déception et découragement, colère sont les sentiments qui assaillent la judokate sénégalaise et plusieurs fois championne d’Afrique de cette discipline Hortense Diédhiou a été éliminée par son adversaire néerlandaise sur un ippon dans la catégorie des (-57 kg) des JO-2016. Une grosse déception pour la combattante sénégalaise, qui espérait une meilleure performance pour ses 4es Jeux. Mais, surtout, une grosse colère, contre les responsables du Sport au Sénégal, qui ne l’ont pas soutenue sur le chemin de Rio-2016», selon elle.
La championne d’Afrique a craché sa colère sur les autorités en charge du sport sénégalais et accable la gestion du sport sénégalais « Qu’est-ce que le Sénégal a fait pour moi ? Zéro ! ». C’est énervée Hortance. Qui regrette que les frais de participation aux JO des athlètes sénégalais aient été remis la veille de leur départ, les remous lors de leur escale à Luanda, d’avoir voyagé au Brésil sans son coach et, sans doute le comble, d’avoir été obligée de combattre sous un kimono brésilien.
A en croire Hortense Diédhiou « Je ne pouvais pas porter celui du Sénégal pour éviter des sanctions, éructe-t-elle. C’est frustrant. Pourtant, le Sénégal a reçu le mail pour les dispositions à prendre concernant les kimonos. Pourquoi ne m’ont-ils pas acheté un kimono ? Pourquoi attendre ? Ce n’est pas à moi d’être athlète, médecin, équipementier, administratif… », Fulmine-t-elle dans les colonnes de l’Obervateur.
Pour déverser sa bile, Hortance Diédhiou demande au chef de l’État de recevoir les athlètes sénégalais. Ils pourront à ce moment-là lui dire « pourquoi le sort sénégalais ne marche pas. Il a mis 800 millions de francs CFA et nos dirigeants ne sont pas capables de nous mettre dans de bonnes conditions », déplore-t-elle.
La championne d’Afrique a craché sa colère sur les autorités en charge du sport sénégalais et accable la gestion du sport sénégalais « Qu’est-ce que le Sénégal a fait pour moi ? Zéro ! ». C’est énervée Hortance. Qui regrette que les frais de participation aux JO des athlètes sénégalais aient été remis la veille de leur départ, les remous lors de leur escale à Luanda, d’avoir voyagé au Brésil sans son coach et, sans doute le comble, d’avoir été obligée de combattre sous un kimono brésilien.
A en croire Hortense Diédhiou « Je ne pouvais pas porter celui du Sénégal pour éviter des sanctions, éructe-t-elle. C’est frustrant. Pourtant, le Sénégal a reçu le mail pour les dispositions à prendre concernant les kimonos. Pourquoi ne m’ont-ils pas acheté un kimono ? Pourquoi attendre ? Ce n’est pas à moi d’être athlète, médecin, équipementier, administratif… », Fulmine-t-elle dans les colonnes de l’Obervateur.
Pour déverser sa bile, Hortance Diédhiou demande au chef de l’État de recevoir les athlètes sénégalais. Ils pourront à ce moment-là lui dire « pourquoi le sort sénégalais ne marche pas. Il a mis 800 millions de francs CFA et nos dirigeants ne sont pas capables de nous mettre dans de bonnes conditions », déplore-t-elle.